Noah Reiter ~

Nom : Reiter
Prénom : Noah
Surnom : No’
Âge – Date de naissance : 15 ans ~ Le 25 décembre 1994
Sexe : Masculin
Orientation sexuelle : Homo
Nationalité : Allemande
Emploi : Étudiant ~ Gosse de riche.
Parcours scolaire : ~




Physionomie : Un beau jeune homme. C’est ainsi que l’on me décrit toujours. 15 ans et l’air de 10, je suis un ange pour certain, mais beaucoup d’autres me savent démon. Mes grands yeux bleus, brillants d’une lumière incroyable qui rappelle celle qui brille dans les yeux des enfants heureux. Eh oui, je le suis ! Ma peau est très blanche ; Il y a quelques centaines d’années, j’aurais été le chouchou pour cette teinte, mais aujourd’hui, le fait d’avoir la peau comme neige n’apporte rien de plus que des commentaires dégradants me rappelant que je n’aime pas être à l’extérieur. Mes cheveux sont brun, acajou ou auburn, brun roux, pour faire court. Une couleur qui me déplaisait au début, moi qui aurait voulu avoir les cheveux de mon frère, oui mon jeune frère que j’apprécie beaucoup, je m’y suis fait ; La teinture ne m’aurait pas plu de toute manière ! Si les petits frisotis de mes cheveux me déplaisent, je peux toujours passer mes longs et fins doigts dans ceux de mon frère qui sont lisses et doux… Je l’ai toujours trouvé plus beau que moi ; Normal, on ne s’aime jamais comme l’on est, même si on est beau comme tout ! Je crois que ce que les gens aiment le plus chez moi ce son définitivement mes yeux, car en plus de la couleur qui en fait tomber plus d’un, j’ai aussi de longs cils fournis et dignes de ceux d’une femme. Ce que je ne suis pas, j’aimerais le préciser. Oui, je ne suis pas bien grand. À peine plus que mon petit frère. Sur qu’avec seulement un an de plus, je ne peux pas vraiment être plus grand et fort que lui. Mon corps est à peine développé, comme je disais, je passe encore pour 10 ans quelques fois. Un torse finement musclé, que j’entretiens ainsi, et une silhouette généralement mince. Je suis parfait, voilà tout. Parfait pour moi, parfait pour Johann. Parfait pour les mecs qui me plaisent, alors tout simplement parfait. Et tout ça fait que je dégage constament une certaine assurance, un sourire qui rappelle aux autres que je suis sur de moi... Oui, un sourire que beaucoup détestent !
Vestimentaires : Un mot et je ne dirai qu’un seul mot pour m’introduire ici : Provocant. Eh oui, je suis là. Regardez-moi, j’aime ça. Tout pour que les gens se retournent dans la rue. Beaucoup disent que je ne suis qu’un gosse de riche pourrit gâté qui ne veut que choquer maman et papa. C’est le cas ! Pourquoi je me défendrais sur ce point alors que c’est exactement ce que je suis ! Je ne nierai pas ça. Non car j’aime les faire flipper, mes vieux. Et puis au final, pourquoi je m’en priverais, de leur gueule quand ils me voient arriver looké fraichement sorti de chez la coiffeuse. Pourquoi m’en priver, je sais qu’ils me donneront toujours ce que je veux de toute manière et si en plus je peux assouvir mon besoin de regard en mettant un chandail anarchique et un jeans trop ajusté, tan mieux !
Autres : Dois-je vraiment tous les énumérer ? Bien entendu, maman et papa n’ont jamais été d’accord avec l’idée de me faire percer, mais ils n’ont bien entendu pas eus le choix. Comme tout le reste, c’est moi qui décide. Quatre à l’oreille droite et un à la gauche. La langue, bien entendu sans le téton ce n’est pas aussi bien. J’en ai au total 7. Et un seul tatouage, rien de trop voyant que la majorité des gens, même en me voyant nu, ne remarquent pas : Un minuscule petit cœur sur la nuque, me rappelant toujours à quel point j’aime mon frère. C’est la personne la plus importante dans ma vie, je dois l’avouer, alors bon.




Psychologie : Il y a moi, mon frère, puis le reste de la terre. C’est ainsi que je vois les choses. Moi en premier, bien entendu, c’est ainsi que tout le monde devrait penser. Le soi-même passe avant les autres, sinon c’est stupide. Il faut apprendre à savoir se faire plaisir, se combler de petites attentions. Si en plus les autres sont tous autour de vous, c’est le bonheur suprême. Mais bien entendu, quelqu’un comme moi ne peut pas rester tout seul en haut. Non non je m’ennuierais tout seul avec mes coups d’un soir et tous ces gens qui se croient amis avec moi. Alors bien entendu, juste après mon moi-même se trouve, dans ma liste de priorité, mon petit frère. Je ne suis pas d’un naturel violent, ni vraiment agressif. Un passif à qui la plus grande arme reste les mots. Par contre, si l’on touche à ne serais-ce qu’un cheveu de mon petit frère, je deviens un autre homme. Qu’il couche, je m’en fiche. On n’est pas un couple, on n’est pas ensembles… Mais je ne sais pas comment je réagirais au fait qu’il aime quelqu’un d’autre juste comme il m’aime moi. Que je ne sois plus le premier pour lui aussi… Et bien entendu, il ne faut pas se montrer méchant avec lui ou on se retrouve avec moi sur le dos ! Je l’aime, oui, ne pas l’avouer serait mentir. Je l’aime beaucoup, comme un frère, comme un amant hors de l’ordinaire, mais la liberté est plus forte que l’amour chez moi. Et puis pour tout dire, je crois que je n’y croit pas. Je l’aime lui, c’est mon frère, mal l’amour avec une personne extérieure, extérieure au toujours ne peut pas exister ; Je m’explique plus simplement en disant que s’il n’était pas mon frère, je ne l’aimerais surement pas autant. J’auto-saboterais notre relation s’il n’était pas mon frère, mais comme c’est le cas, je le laisse m’aimer et je lui rends son amour à ma manière. En gardant une certaine liberté, tout le monde y gagne. C’est le paradis, au fond.
Je vis dans un monde parfait ! Eh oui, j’en ai de la chance, hein ? Venez m’admirer, ceci est un homme heureux ! J’aime me venter, qu’on me regarde. C’est naturel chez les autres, je les attire comme un aiment. Et en plus avec ma relation parfois ambigüe avec mon frère, on peut dire qu’on ne passe pas inaperçue auprès de beaucoup de gens ! C’est ça le meilleur. Potinez, ça me plait, allez-y, croyez aux rumeurs dont la majorité sont de moi, peu m’importe où je suis, je me retrouve toujours avec un respect incroyable venant des gens ; Donnez-moi deux semaines et je serai roi et maître ici.
Centre d’intérêt : J’aime mieux le dire tout de suite, je déteste le sport. Je déteste tout ce qui touche l’exercice physique, mis à part le sexe bien entendu. Je ne vis pas sans ça. Mais bien sur, sans exercice physique, sans un beau corps, qui voudrait s’amuser avec moi ? Alors donc je fais comme maman et papa veulent. J’ai fait de l’équitation étant plus jeune, mais lors de ma période de rébellion j’ai abandonné ce sport. Je vais toujours de temps à autre m’entrainer un peu, histoire de garder les petites chairs molles bien dures, mais ce que je préfère reste toujours la récompense au travail ! J’aime les hommes. Plus vieux, plus jeunes, j’en ai rien à foutre. Pourquoi vous croyez que je mange des portions minime de nourriture santé ; Surement pas pour faire plaisir à maman chérie ! Je l’entretiens, ma taille. Bien entendu, mon centre d’intérêt premier reste le plaisir. Sous toutes ses formes, tout ce qui m’amuse se résout à ceci : Mon frère, mes coups et être populaire. Être le meilleur quoi ! L’école en général ne me plait pas ; J’y vais pour me montrer voilà tout. Je n’ai pas vraiment de passion si l’on peut dire. La seule chose qui s’y rapproche c’est l’art. J’adore faire du dessin, des portraits ou peu m’importe. Je ne m’amuse qu’au plomb ; Salissant, imprécis et ordinaire, mais je m’y plait. J’aime dessiner mon frère plus que tout. Il a une belle gueule, vous savez, il se trace à merveille et son corps… Oui, mon centre d’intérêt premier restera toujours mon ange.




Histoire : Maman, papa, je suis gay.
Bien entendu, tout ne se passe pas toujours bien dans les familles richissimes de la haute bourgeoisie de Berlin. Il y a eu mon grand frère, Ulrich, puis moi, et finalement mon petit frère Johann. La parfaite petite famille riche normalement constituée de : Le père, ici se nommant Alexander Reiter, la mère, Aurelia Reiter, dont le nom de jeune fille est Uhart, ainsi que leurs trois fils Ulrich, Johann et moi. C’est parfait, direz-vous, mais moi et mes frères n’avons jamais vraiment vu les choses ainsi. En fait, la famille c’était plutôt nous et les bonnes. Les portiers, le cuisinier, notre gouvernante. La belle vie, direz-vous, très chers amis, mais en fait, vivre sans maman et papa ce n’est pas super. Tous les jeunes rêvent de se débarrasser de leurs parents, mais moi, en fait, j’aurais peut-être préféré me débarrasser d’eux ainsi que des milles et unes autres personnes qui s’occupaient en fait de nous. Élevés par des bonnes, il faut s’y attendre, les enfants issus de cette famille ne peuvent pas être les meilleurs. Mes frères s’en sont plutôt bien sortis, Ul’ a trouvé quelqu’un pour combler la carence affective que nos parents jamais présents nous a tous causé, et moi et Johann avons su nous occuper de ce problème ; Tout les deux. Maman et papa n’ont pas à savoir qu’il nous arrive de batifoler ensemble. Une petite partie de jambe en l’air avec son frère n’a jamais tué personne ! Bien entendu, quand ils ont su notre homosexualité, ce fut une catastrophe. Un éclair de rage venait de frapper papa ; Il ne s’en est jamais remis. Maman, elle, nous a tout simplement tourné le dos. Ça voulait tout simplement dire ‘Je ne vous aime plus’ ou plutôt, dans leur cas ‘Je ne vous ai jamais aimé’. Car bien entendu, c’est ainsi que je les vois. Des parents qui n’ont jamais été là pour nous ne nous aiment donc pas. Grand frère, tant qu’à lui, nous a souvenu. L’homosexualité n’a jamais été un problème pour lui, et je le respecte bien plus maintenant pour cela. Aah, mais bien sur, jamais je ne l’aimerai comme j’aime Johann. Et c’est pour ça que quand nos parents ont su, il nous a emmenés en vacance durant un mois chez sa femme, Jasmine, en Arabie. Un magnifique pays, oui, coloré, accueillant malgré ce que l’on dit, et surtout, pour moi qui ne tolère pas cela, malgré la chaleur. J’ai eu de la chance, je n’y ai pas trop bronzé, tout comme mon frère. Cette expérience d’éloignement de nos parents, de notre grande villa, de nos domestiques, ça m’a fait du bien, à moi, en tout cas. Et à notre retour, sans vraiment réfléchir, moi et Johann avons décidés de partir. En pensionnat. Bien entendu, un qui plaira à nos parents, qui bien entendu s’intéressait bien moins à nous depuis ‘la grande nouvelle’… Ils nous ont laissé partir sans broncher, tout pour se débarrasser de leur deux fils qui faisaient leur honte…
Et c’est ainsi que moi et Johann arrivons ici, à Alpha, dans l’espoir de s’y plaire !
Famille :

My dear dear little brother… [ Johann Reiter ]
> Âge : 14 ans ;Un an de moins que moi, jour pour jour… Quelle coïncidence !
> Lien : Petit frère ~ Oui, contentez-vous de cela.
> Mon avis : Je lui offrirais mon cœur, mon corps, tout ce qu’il veut. J’irais me jeter d’un édifice de 100 étages si c’était ce qu’il désire… Mais je le cache bien. L’amour c’est une chose, et l’amour entre frère c’est autre chose. Un secret, chut. Même lui, je ne lui dit pas tout. Mes sentiments, mes envies, mieux vaut qu’il ne sache que ceci : J’ai envie de toi. Je l’aime comme tout les frères et sœur devraient s’aimer, mais juste un peu plus, juste au point où la vue de son corps me fait frémir…


My dear dear big brother… [ Ulrich Reiter ]
> Âge : 24 ans, né le 17 Juillet…
> Lien : Grand frère
> Mon avis : Aah, sans lui je ne serais pas devenu qui je suis. Quand papa et maman nous ont repoussés moi et Johann, c’est lui qui s’est occupés de nous. Et depuis notre enfance, ça a toujours été lui qui s’occupait de nous. Avec sa femme, Jasmine, c’est comme ça que je vois notre famille. Ils sont comme des parents, je les aime énormément. Il a su me redonner confiance en moi et me montrer que je suis le seul à tenir mon destin à main, le seul à décider si ce que je fais est bien ou mal, et que je dois toujours faire ce qui me semble le mieux dans la vie.

Happy happy mother… [ Aurelia (Uhart) Reiter ]
> Âge : 47 ans… Et plus toutes ses dents !
> Lien : Mère
> Mon avis : s’il vous intéresse, bien entendu, l’avis que j’ai de ma mère se résume ainsi : Sale vieille peau ! Elle s’est toujours plus occupé de son caniche miniature et de son brushing que de nous ; Ulrich, Johann et moi. elle aurait tant aimé avoir des petites filles qui seraient devenues des ‘ladies’ comme elle dit si souvent. Des femmes de la noblesse, si belle et distinguées… À la place, elle nous a eue nous. La chance, n’est-ce pas ? Et pour cette raison, elle ne nous a jamais accordé une grande importance ; Princesse, le caniche, en avait plus.

He can’t recieve you, he work. [ Alexander Reiter ]
> Âge : 50 ans et toujours pas retraité !
> Lien : Malheureusement mon père
> Mon avis : il vaudrait mieux que je me taise à son sujet, mais ‘Il ne peut pas vous recevoir, il travaille’ était la phrase favorite de sa secrétaire, jeune belle, d’à peine 25 ans et pour qui sa poitrine est le meilleur CV. Je ne l’ai presque pas connu. Je ne saurais peut-être même pas dire la couleur exacte de ses yeux si je n’avais pas les mêmes. Je lui ressemble, apparemment… J’espère que ce n’est que physique, parce que je le déteste. Mais bien entendu, il a une belle gueule (Ou plutôt il en avait une à 20 ans) alors bon, je le remercie de m’avoir donné ça, au moins.